Les pertes blanches durant la ménopause
Est-il normal d’avoir encore des pertes blanches durant la ménopause ? Pourquoi et à quoi ressemblent-elles ? Quelles sont les pertes anormales pendant la ménopause et quand devez-vous vous inquiéter et consulter ? Les pertes blanches sont un sujet tabou pour bon nombre de vous et cela ne change pas à la ménopause. Or à cette période, les pertes blanches changent énormément ! Dans cet article*, nous avons réuni l’ensemble des questions que vous nous avez posées sur les pertes blanches et la ménopause et nous vous aidons à mieux comprendre vos pertes vaginales.
Sommaire
- 1. Rappel des bases : c’est quoi les pertes blanches ?
- 2. Quelles sont les pertes blanches “normales” à la ménopause ?
- 3. Je suis ménopausée et j’ai des pertes blanches, parfois très liquides, pourquoi ?
- 4. Dois-je m’inquiéter ? Comment faire la différence entre des pertes normales et des pertes pathologiques ?
- 5. Quand dois-je consulter un médecin ?
- 6. Existe-t-il des solutions pour réduire les pertes blanches ?
- 7. Comment prendre soin de mes parties intimes à la ménopause ?
Ce qu’il faut retenir
- Les pertes blanches changent d’aspect à la ménopause car les pertes liées au cycle menstruel (la glaire cervicale notamment) disparaissent pour ne laisser que les pertes liées à l’hydratation et au nettoyage naturels du vagin.
- La sécheresse vaginale, les infections sexuellement transmissibles, les mycoses vaginales ou encore la vaginite atrophique peuvent entraîner des pertes anormales. Elles sont souvent accompagnées d’autres symptômes.
- Pour prendre soin de vos parties intimes et prévenir des pertes blanches anormales, les gestes sont : nettoyer, hydrater, lubrifier, rééquilibrer et rester attentive.
Cet article, destiné au grand public, rédigé par une rédactrice web spécialisée dans les questions de santé et relu par des médecins (en savoir plus sur notre équipe d’expertes), reflète l'état des connaissances sur le sujet traité à sa date de mise à jour. De nouvelles découvertes et études scientifiques peuvent le rendre tout ou partie caduc. C’est pourquoi il a pour rôle l’information mais n’a pas vocation à se substituer au suivi de votre médecin, votre gynécologue ou de votre sage-femme.
1. Rappel des bases : c’est quoi les pertes blanches ?
Avant même de vous interroger sur les changements des pertes blanches pendant la périménopause et la ménopause, vous êtes nombreuses à nous poser des questions sur les pertes blanches : ce qu’elles sont, à quoi elles servent… Commençons par ce premier point !
Les pertes blanches apparaissent chez les personnes menstruées durant la puberté avec le développement des organes génitaux et notamment le vagin et l’utérus. Le terme de “pertes blanches” englobe l’entièreté des pertes non sanglantes du vagin mais elles sont plus spécifiquement de quatre types :
- Glaire cervicale : la glaire cervicale joue un rôle essentiel dans le cycle menstruel. Elle contribue tour à tour à faciliter le passage des spermatozoïdes au moment de l’ovulation et à bloquer le passage quand cette dernière est passée et durant la grossesse où elle compose le bouchon muqueux. Sa consistance est influencée par les oestrogènes ;
- Cyprine : Les glandes de Bartholin, situées sur la vulve, à l’entrée du vagin, ont pour mission la lubrification du vagin. Ce sont elles qui sécrètent un liquide incolore lorsque vous êtes excitée sexuellement : c’est la cyprine. Elle facilite la pénétration et augmente le plaisir sexuel ;
- Ejaculat féminin : Situées autour de l’urètre, sur la vulve, les glandes de Skene sécrètent un liquide au moment de l’orgasme : il est appelé “éjaculat féminin”. Chaque personne est différente : ce liquide peut être inexistant, très abondant (les “femmes fontaine”, de couleur très translucide ou légèrement blanc ;
- Leucorrhées : Les leucorrhées, enfin, sont le nom médical donné aux autres pertes vaginales non sanglantes. Elles sont de deux types : physiologiques (nécessaires au bon fonctionnement du vagin) et pathologiques (signes d’une infection, d’une blessure ou d’une maladie). Les leucorrhées physiologiques contribue à l'hydratation naturelle de la surface du vagin, ainsi qu’au nettoyage du vagin.
Parmi les pertes blanches, seule la glaire cervicale est liée au cycle menstruel. C’est pourquoi vous pouvez continuer à avoir des pertes blanches une fois la ménopause passée. Les questions qui suivent sont celles que vous vous posez le plus sur le sujet de la ménopause et des pertes blanches !
2. Quelles sont les pertes blanches “normales” à la ménopause ?
C’est certainement la question que vous nous avez le plus posée sur ce thème !
Quand il est question de cycles menstruels et d’intimité féminine, la normalité est rarement de la partie et il sera difficile de vous répondre avec précision sur ce que sont les pertes blanches normales à la ménopause car la quantité, la texture et l'occurrence des pertes vaginales non sanglantes “normales” vont varier selon les personnes. Nous pouvons cependant vous donner des pistes d’observation et de compréhension.
Comme nous l’évoquions dans la partie précédente, si vous avez toujours des pertes blanches durant la périménopause et la ménopause, rassurez-vous : c’est normal. Elles n’indiquent pas forcément une anomalie.
Généralement, les personnes ménopausées ont des pertes vaginales moins abondantes et plus transparentes qu’avant. Ces pertes vaginales sont plus liquides, claires ou blanchâtres et ont une odeur légèrement acide ou inodore. Quand elles sèchent, elles deviennent un peu plus jaunâtres. Le rôle de ces pertes naturelles est de nettoyer la paroi du vagin et du col de l'utérus. Les pertes vaginales liées à l’excitation sexuelle (cyprine) et à l’orgasme (éjaculat féminin) continuent quant à elles d’exister.
Ces pertes sont physiologiques et participent au bon fonctionnement du vagin. Certaines femmes ménopausées peuvent cependant observer soit des pertes en abondance soit une très forte baisse de leurs pertes au point de ressentir des tiraillements. Ces deux symptômes peuvent être liés à la sécheresse vaginale (aussi appelée sécheresse intime) qui touche 1 femme sur 2 à la ménopause.
👉D’ailleurs nous vous proposons des traitements naturels contre la sécheresse intime liée à la ménopause dans cet article.
3. Je suis ménopausée et j’ai des pertes blanches, parfois très liquides, pourquoi ?
Il est normal d’avoir des pertes blanches plus liquides qu’auparavant durant la ménopause. En effet, à la ménopause, en l’absence de fertilité, la glaire cervicale cesse d’être produite par le corps. Fortement liée au cycle menstruel, c’était elle qui était responsable du changement de texture des pertes blanches (tantôt visqueuse, tantôt collante, tantôt épaisse). Sans elle, les pertes blanches se limitent aux pertes générées par le vagin pour s’auto-nettoyer. Elles ont donc toujours la même texture, généralement plus liquide et plus translucide qu’auparavant.
✋ Attention cependant : des pertes vaginales très abondantes et liquides peuvent être, au contraire, un symptôme de sécheresse vaginale et nécessiter de consulter. Nous en reparlons juste après.
4. Dois-je m’inquiéter ? Comment faire la différence entre des pertes normales et des pertes pathologiques ?
S’il est normal d’avoir des pertes blanches durant la ménopause, il est nécessaire de continuer à les observer car elles peuvent s’avérer pathologiques (autrement dit résulter d’une maladie ou d’une infection). Plusieurs causes peuvent entraîner des pertes anormales : la sécheresse vaginale, les infections sexuellement transmissibles, les mycoses vaginales ou encore la vaginite atrophique. Généralement, lorsque les pertes blanches sont anormales et liées à des maladies, vous pouvez observer d’autres symptômes.
La sécheresse vaginale pendant la ménopause
L’affection la plus courante qui peut affecter les pertes vaginales des personnes ménopausées est la sécheresse vaginale. En effet, la baisse d’œstrogènes réduit la capacité du vagin à se lubrifier, entraînant des irritations qui favorisent les pertes blanches.
Dans ce cas, les pertes vaginales abondantes s’accompagnent d’autres symptômes, comme une sensation de brûlure et d’irritations au niveau de la vulve au quotidien, et des douleurs à l’entrée de la vulve pendant les rapports.
Quoi faire ?
- Si vous pensez souffrir de sécheresse vaginale, il est important de consulter un médecin. À part les traitements hormonaux qui pourront vous être prescrits sous condition, il n’existe pas de solutions médicales contre la sécheresse intime mais il existe de nombreuses astuces pour vous rendre la vie plus facile.
Les infections sexuellement transmissibles
Outre la sécheresse vaginale, d’autres affections peuvent entraîner de fortes pertes vaginales. C’est notamment le cas des infections sexuellement transmissibles. Ces dernières peuvent toujours vous toucher à la ménopause, c’est pourquoi il reste important, même à la ménopause, de vous protéger avec un préservatif en cas de rapport avec un partenaire occasionnel.
Les infections sexuellement transmissibles sont nombreuses et leurs symptômes dépendent de l’affection. Généralement, le changement de vos pertes vaginales (en quantité, texture et couleur) sera un des symptômes que vous ressentirez. La plupart des IST s’accompagnent d’autres symptômes comme les douleurs, l’irritation, les démangeaisons et des saignements vaginaux.
Quoi faire ?
- Si vous pensez être atteinte d’une IST, nous ne pouvons que vous recommander de consulter un médecin. La plupart des IST se traitent bien, avec des antibiotiques, à condition de les identifier tôt. Il sera aussi important de prévenir votre ou vos partenaire(s) sexuel(s) pour leur permettre de se faire dépister et éviter les réinfections.
Les mycoses vaginales
La mycose vaginale, aussi nommée candidose, est causée par un champignon, le candida albicans : il est normal de le retrouver dans le vagin mais il peut arriver qu’il se développe en trop grande quantité par rapport aux autres entités présentes et qu’il perturbe l'équilibre naturel de votre flore vaginale.
Les symptômes courants de la mycose vaginale sont les pertes blanches très blanches et grumeleuses, mais aussi les démangeaisons et la dyspareunie (douleurs pendant les relations sexuelles, comme vu précédemment).
Quoi faire ?
- Si vous soupçonnez une candidose, consultez un médecin pour qu’il vous prescrive un traitement. Généralement, il est facile de la traiter avec ovule et crème antifongique que vous pourrez trouver en pharmacie.
La vaginite (voire la vaginite atrophique)
Une vaginite est une inflammation du vagin qui peut résulter :
- soit d'une infection vaginale due à un champignon (mycose vaginale ou candidose, nous en parlions au paragraphe précédent), une bactérie, un virus ou un parasite ;
- soit d'une irritation non infectieuse du vagin (1 cas sur 3 environ). C’est notamment le cas des vaginites atrophiques, courantes durant la ménopause. La raison en est l'amincissement de la paroi vaginale et l'assèchement du vagin liée au déficit en hormones sexuelles. Cela peut s'accompagner d'une miction et de rapports sexuels douloureux et d'un écoulement qui peut être très sanglant.
L’inflammation du vagin entraîne généralement des pertes blanches très blanches et épaisses, crémeuses. Elle s’accompagne d’autres symptômes comme des douleurs à la mictions et durant les rapports sexuels, voire des saignements.
Quoi faire ?
- La vaginite n’est pas grave mais nécessite de consulter votre médecin. Cette affection peut être traitée par l'administration d'œstrogènes topiques, qui agissent très localement et peuvent rapidement renforcer la paroi vaginale.
5. Quand dois-je consulter un médecin ?
De façon générale, nous ne pouvons que vous recommander de consulter un médecin dès que vous ressentez une angoisse ou une inquiétude sur un sujet en particulier. Il pourra vous rassurer et le cas échéant mener des examens complémentaires avant de vous proposer un traitement si vous le nécessitez.
Au-delà de votre inquiétude, si vous remarquez un changement de vos pertes vaginales associé à d’autres symptômes (douleurs à la pénétration, sensations d’irritations et de brûlures, pertes colorées voire sanglantes), il est nécessaire de consulter.
Qui consulter ?
Un médecin traitant sera un bon interlocuteur en cas de pertes blanches anormales à la ménopause. Mais vous pouvez aussi vous tourner vers le gynécologue et la sage-femme qui vous suivent : ces trois professionnels pourront vous répondre et vous prescrire des examens complémentaires le cas échéant.
6. Existe-t-il des solutions pour réduire les pertes blanches ?
Si vos pertes blanches sont anormales, la solution pour les réduire sera de traiter la cause de leur occurrence. À l’opposé, si vos pertes blanches sont normales, d’origine physiologique, il n’y aura pas grand-chose que vous pourrez faire pour les réduire, mais nous pouvons vous proposer quelques astuces pour mieux les gérer.
Réduire les pertes blanches en cas de pertes anormales
Si vos pertes blanches à la ménopause sont d’ordre pathologique, amplifiées par une maladie ou une infection, la première chose à faire pour les réduire est de traiter leur cause. Pour cela, consulter un professionnel de santé. Une fois vos pertes blanches revenues à la normale, vous pourrez envisager des solutions pour les gérer si elles continuent à être abondantes.
Et si mes pertes blanches sont normales ?
Si vos pertes blanches sont normales, d’origine physiologique, il sera impossible de les réduire–cela ne serait en effet pas sain pour votre corps qui s’auto-régule ainsi ! Cependant, voici quelques pistes pour mieux gérer vos pertes blanches si elles sont abondantes :
- Adopter une bonne hygiène : on en reparle dans la partie suivante !
- Opter pour des sous-vêtements non moulants en matière naturelle : une matière qui respire et sèche rapidement sera plus agréable si vous avez beaucoup de pertes vaginales liquides à la ménopause.
- Porter un protège-slip : la sensation “mouillée” qui résulte de vos pertes blanches vous gêne ? Un protège-slip peut vous aider.
- Porter des culottes menstruelles : vous utilisiez des culottes menstruelles pour votre cycle menstruel ? Et si vous réutilisiez vos culottes pour vos pertes vaginales ? Ces dernières feront tout à fait l’affaire. Et si elles sont trop épaisses, vous pouvez toujours opter pour des culottes menstruelles pour flux réduit.
7. Comment prendre soin de mes parties intimes à la ménopause ?
Pour prendre soin de votre intimité à la ménopause, voici les six règles que nous vous enjoignons à suivre. Promis, si vous les respectez, la sécheresse intime devrait vous laisser tranquille. ❤️
#1 Nettoyer
Premier geste à ne pas négliger–mais vous le savez certainement déjà : l’hygiène. Adoptez une hygiène quotidienne (voire deux fois par jour quand il fait chaud et que vous transpirez) de votre intimité et changez vos sous-vêtements au quotidien.
Pour cette toilette, l’eau suffit. Cependant, il est possible que vous ayez envie de faire appel à du savon pour vous sentir plus fraîche. Dans ce cas, optez pour des savons au pH neutre qui ne risque pas de déstabiliser l’acidité naturelle de votre vagin. Sur Gapianne, nous avons soigneusement sélectionné deux savons intimes à utiliser sous la douche :
- 🌈 Pain lavant solide ultra doux et naturel de Baûbo : sa composition intégralement naturelle et douce pour votre hygiène intime va vous le faire adorer. Avec son pH équilibré et ses ingrédients bio, il nettoie en douceur, apaise et prévient les inconforts. Son gros bonus est d’être un savon solide : 100% écolo !
- 🌈 Gel intime lavant de Jhô : ce soin intime lavant doux et certifié bio est fait pour nettoyer votre zone intime au quotidien tout en lui apportant douceur et fraîcheur. Il combine les actions nettoyantes du néroli et du citron. Comme nous, vous aimerez qu’il soit fait en France !
✋ Surtout, ne cédez pas aux sirènes de la douche vaginale, parfois proposée comme solution pour dégager une meilleure odeur… Mettre de l’eau à l’intérieur de votre vagin va déséquilibrer votre flore vaginale et vous risquez d’empirer les choses ! Si votre vagin et votre vulve dégagent de mauvaises odeurs alors que vous avez une bonne hygiène, nous vous recommandons de consulter un médecin car une infection peut en être la cause.
#2 Hydrater
Le deuxième geste qui sauve est l’hydratation de la vulve. C’est d’autant plus vrai si vous souffrez de sécheresse intime. Ce geste vous permettra de limiter les sensations de tiraillements, internes ou au niveau de la vulve. Pour cela nous avons sélectionné trois produits différents aux qualités différentes, dépendant de vos besoins :
- 🌈 Gel hydratant interne et rééquilibrant de la marque Miyé : ce gel est un 3-en-1. Il est à la fois hydratant, lubrifiant et rééquilibrant de la flore vaginale. Nous aimons tout particulièrement qu’il puisse être utilisé en usage interne, en tant que gel hydratant interne. Il soulagera les irritations que vous pouvez ressentir naturellement ou après un rapport (et vous pouvez l’utiliser pendant le rapport en tant que lubrifiant pour éviter ces irritations !).
- 🌈 Gel nettoyant intime de la marque Wumi : il combine l’action d’un nettoyant au pH neutre et d’un hydratant pour les personnes qui veulent aller vite. Sous la douche, vous aimerez sa fraîcheur et le fait qu’il mousse bien. Il est fait en France, à 98% naturel, biologique et testé gynécologiquement.
- 🌈 Baume protecteur de la marque Baûbo : extrêmement riche, ce baume agit comme un cataplasme sur les irritations et douleurs que vous pouvez ressentir. Il sera particulièrement intéressant pour vous protéger des sur-irritations qui peuvent être entraînées par les vêtements sur une zone déjà irritée grâce au fini gras qu’il laisse sur votre peau.
Je veux ce baume de soin pour la vulve
#3 Lubrifier
La ménopause étant marquée par un déficit progressif de la lubrification du vagin, de façon quotidienne et durant les rapports, à cause de la baisse des hormones sexuelles, la lubrification pendant les rapports et lors de la masturbation avec pénétration peut être nécessaire. Sur notre e-shop, nous avons sélectionné trois lubrifiants coups de cœur aux caractéristiques différentes, à choisir selon votre besoin :
- 🌈 Gel intime lubrifiant intime aux probiotiques rééquilibrant : nous avons déjà cité ce produit juste avant ! À la fois hydratant interne et lubrifiant, ce gel de la marque Miyé a aussi pour rôle de limiter les déséquilibres de la flore vaginale. Or, cela peut se produire à cause des irritations liées aux rapports et du sperme de votre partenaire. Certifié vegan, naturel, BIO et hypoallergénique, ce lubrifiant est notre chouchou (et l’un de nos best-sellers).
- 🌈 Lubrifiant à l’eau de la marque My Lubie : les lubrifiants à l’eau sont souvent les mieux tolérés et ont l’avantage d’être compatibles avec les sex-toys et les préservatifs (les lubrifiants à l’huile peuvent abîmer certains sextoys et rendre poreux les préservatifs). Nous aimons beaucoup la naturalité (100%) de ce lubrifiant qui a été le premier que nous avons recensé sur notre site.
- 🌈 Lubrifiant à l’huile et au CBD de My Lubie : le cannabidiol (CBD) est une molécule naturelle issue des fleurs du chanvre dont on découvre peu à peu l’étendue des propriétés ! Parmi elles : la capacité d’atténuer les douleurs et d’augmenter la sensation de plaisir ! Choisir un lubrifiant à l’huile et au CBD c’est donc augmenter votre plaisir tout en vous protégeant des irritations ! 100% naturel, fait en France et vegan : on l’adore ! Et vous ?
#4 Rééquilibrer
Au-delà de la baisse des hormones sexuelles dans le corps des personnes ménopausées durant la périménopause et la ménopause, la seconde cause qui peut engendrer des désagréments au niveau du vagin est un déséquilibre de la flore vaginale. Il peut donc être intéressant de faire appel à des compléments alimentaires ayant pour rôle le renforcement de la flore vaginale et intestinale. Sur notre e-shop, nous avons sélectionné pour vous :
🌈 Cure de probiotiques pour équilibrer la flore intestinale et vaginale de Miyé : apporter des bonnes bactéries par le biais des probiotiques permet de compenser la présence des mauvaises bactéries et ainsi de rééquilibrer la flore. Au-delà de limiter les pertes, maintenir une flore saine prévient les désagréments intimes et urinaires ainsi que les troubles digestifs et les ballonnements. Fait en France et vegan, nous aimons cette cure à adopter a minima deux mois pour en tester les effets.
#5 Observer
En plus de l’ensemble des gestes, la bonne santé de votre intimité repose sur vos observations. Comment sont vos pertes vaginales depuis la ménopause ? Comment évoluent-elles ? Augmentent-elles ? Continuer à utiliser une application de suivi de règles peut être intéressant, à la périménopause et durant la ménopause, pour suivre vos symptômes et vérifier que tout va bien. C’est vos observations qui vous permettront de consulter en cas de changements surprenants.
Les pertes vaginales sont en partie liées au cycle menstruel. C’est pourquoi elles changent à la périménopause et à la ménopause. Elles deviennent plus liquides et translucides, ayant désormais pour fonction principale l’auto-nettoyage du vagin. Cependant, leur changement, en quantité, en texture ou en couleur, peut aussi signifier un problème de santé, notamment quand il est accompagné d’autres symptômes, comme des douleurs. Il est essentiel de consulter en cas de doute pour éviter des désagréments plus importants.
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