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Article Gapianne : tout savoir sur la contraception naturelle
Contraception

Tout savoir sur la contraception naturelle

Vous en avez assez des contraceptifs hormonaux, de votre dispositif intra-utérin ou même des préservatifs, tout en restant conscient de l'importance de se protéger contre les infections sexuellement transmissibles (IST) ? Vous recherchez une solution plus naturelle et qui soit en harmonie avec votre santé ? Les méthodes de contraception naturelle pourraient bien être une solution efficace pour vous. On vous explique tout dans cet article, belle lecture !

La contraception, une affaire de femmes ?

Nous trouvions intéressant de commencer par ce petit aparté, pour rappeler quelques faits.

Aujourd'hui, la responsabilité de la contraception repose malheureusement encore largement sur les épaules des femmes. Une étude Américaine nous dit d’ailleurs qu’en 2018, 65 % des femmes en âge de procréer utilisaient une méthode contraceptive, et plus de 99 % des femmes sexuellement actives ayant entre 15 et 44 ans avaient déjà utilisé au moins une méthode contraceptive à un moment donné. Cela met donc en évidence le fait que, malgré les nombreuses options disponibles, la charge de la contraception repose majoritairement sur les femmes. Cependant, ces contraceptions, et nous allons le voir dans la suite de l’article, ne sont pas sans risques pour la santé. Elles peuvent être aussi une réelle charge mentale pour les femmes. C’est pourquoi elles sont de plus en plus nombreuses à décider de se tourner vers les contraceptions dîtes “naturelles”.

C’est quoi une contraception naturelle ?

La contraception naturelle, tout comme les contraceptions hormonales, les dispositifs intra-utérin ou même les interventions chirurgicales, permettent de prévenir une grossesse. Seulement, la contraception naturelle repose sur l'apprentissage et le suivi des indicateurs de fertilité de son corps. L’objectif principal de ces méthodes est d’éviter les rapports sexuels pendant les périodes de fertilités, mais pas que ! Voyons cela plus en détail.

Pourquoi envisager la contraception naturelle ?

Toutes les méthodes contraceptives ne sont pas dénuées de risques pour la santé. C'est pourquoi certaines femmes se tournent vers des alternatives contraceptives plus naturelles. Mais les préoccupations pour la santé ne sont pas l'unique motif de cette recherche. Explorons un peu plus ces raisons :

Pour une préoccupation de santé :

C’est souvent la raison principale - les femmes qui s'intéressent à la contraception naturelle le font souvent par préoccupation pour leur santé.  Elles souhaitent éviter les déséquilibres causés par les hormones synthétiques contenues dans de nombreux contraceptifs hormonaux. Ces hormones, bien qu'efficaces pour prévenir la grossesse, peuvent perturber l'équilibre hormonal naturel du corps. Cela peut entraîner divers effets secondaires indésirables comme des sautes d'humeur, des modifications du poids, du cycle menstruel, et provoquer des nausées.

L'exposition continue à ces hormones favorise aussi certaines conditions médicales comme :

  • Des risques cardiovasculaires : Les contraceptifs hormonaux peuvent augmenter le risque de formation de caillots sanguins, de thrombose veineuse profonde (TVP), d'embolie pulmonaire, et de problèmes cardiovasculaires, en particulier chez les fumeuses ou les femmes de plus de 35 ans.
  • L’hypertension : Ils peuvent entraîner une augmentation de la pression artérielle chez certaines femmes.
  • Le cancer du sein et du col de l’utérus : Certaines études ont suggéré un lien entre l'utilisation de contraceptifs hormonaux et un risque accru de cancers du sein et du col de l'utérus, bien que les contraceptifs oraux aient aussi été associés à une réduction du risque de certains autres types de cancer, comme ceux de l'ovaire et de l'endomètre.
  • Des effets sur la santé mentale : Bien que les recherches soient moins concluantes dans ce domaine, certaines femmes rapportent une expérience négative des contraceptifs hormonaux sur leur santé mentale, incluant la dépression et les sautes d'humeur.
  • Des changements métaboliques : Les contraceptifs hormonaux peuvent aussi influencer le métabolisme, avec des effets potentiels sur le poids corporel, la composition corporelle, et le risque de diabète de type 2.

C’est pourquoi de nombreuses femmes cherchent des méthodes qui respectent davantage la physiologie naturelle de leur corps.

Pour ne pas subir d’effets secondaires :

Nous avons rapidement abordé ce point précédemment, les effets secondaires sont assez fréquents lorsque l’on prend une contraception hormonale, ou un dispositif intra-utérin.

Fluctuations d'humeur, variations de poids, maux de tête, troubles menstruels, douleurs intenses pendant les règles, changements dans la libido, de l'acné, une sensibilité mammaire… autant d’effets secondaires qui peuvent être évités avec une contraception naturelle.

De plus, ces effets secondaires ne se limitent pas à des désagréments temporaires mais peuvent influencer profondément le quotidien, l'estime de soi, et les relations interpersonnelles, ce qui peut être compliqué à vivre tous les jours.

Car c’est une méthode non invasive :

Une autre raison qui fait que ce type de contraception est apprécié, c’est son caractère non invasif. Contrairement aux méthodes contraceptives médicalisées, telles que les implants, les dispositifs intra-utérins (DIU), ou les injections hormonales, qui interviennent physiquement dans le système reproductif ou modifient l'équilibre hormonal du corps, la contraception naturelle offre une alternative douce, sans effets physiques directs.

De plus, pour celles sous pilule, plus besoin d’y penser tous les jours !

Pour des raisons environnementales :

Cette raison est un peu moins répandue, mais certaines femmes décident de se détourner des contraceptions hormonales pour une raison écologique.

Vous ne le saviez peut-être pas, mais les contraceptions hormonales ont un impact délétère sur la faune aquatique. Une étude menée par l'Université de Lund a mis en évidence les effets néfastes de l'estrogène des pilules contraceptives sur toute la faune aquatique, démontrant comment ces hormones peuvent altérer l'équilibre endocrinien des organismes aquatiques et potentiellement perturber ces populations. Par exemple, Emma Haziza, hydrologue de renom, nous explique dans cette vidéo que la pilule contraceptive féminise les poissons et toute la faune aquatique.

Disclaimer :

Après nous avoir lu, il se peut que l'idée de choisir une méthode de contraception plus naturelle vous semble encore plus attrayante, ce qui est compréhensible. Toutefois, il est important de considérer que les méthodes contraceptives traditionnelles, malgré les effets secondaires potentiels qu'elles peuvent entraîner, sont souvent privilégiées pour leur haut niveau d'efficacité et de sécurité.

Il est aussi essentiel de se rappeler que le "risque zéro" n'existe pas en matière de contraception, quelle que soit la méthode choisie. Chaque individu peut réagir différemment aux différentes méthodes contraceptives, et ce qui fonctionne pour une personne peut ne pas être idéal pour une autre. La décision de changer de méthode contraceptive devrait toujours être prise avec une large phase de réflexion.

5 méthodes de contraception naturelle

1. La méthode du calendrier (ou méthode Ogino-Knaus)

La méthode du calendrier, également connue sous le nom de méthode Ogino-Knaus, est une forme de contraception naturelle qui repose sur le suivi du cycle menstruel pour déterminer les jours les plus dangereux du cycle de tomber enceinte.

Le principe de cette méthode est assez simple, elle repose sur l'identification de la fenêtre de fertilité dans le cycle menstruel. Pour rappel, le cycle est divisé en jours fertiles et non fertiles. Pour utiliser efficacement la méthode Ogino-Knaus, il faut d'abord observer et enregistrer la durée de ses cycles menstruels pour déterminer leur régularité et prévoir le moment de l'ovulation.

En général, cette méthode calcule la période de fertilité en soustrayant 18 jours du cycle le plus court et 11 jours du cycle le plus long sur une série de cycles enregistrés. D’ailleurs, nous vous recommandons vivement d’utiliser une application de suivi des cycles menstruels. Les jours restants entre ces deux calculs représentent la fenêtre de fertilité durant laquelle les couples qui cherchent à éviter une grossesse doivent s'abstenir de rapports sexuels ou utiliser une contraception de barrière, comme un préservatif.

Bon à savoir :

Bien que la méthode du calendrier puisse être utile pour les femmes ayant des cycles réguliers, elle présente des limites.  L'efficacité de cette méthode peut être affectée par la variation de la longueur des cycles d'une femme et par l'imprévisibilité de l'ovulation. Elle exige une discipline rigoureuse et une compréhension approfondie du cycle menstruel. C'est pourquoi il est recommandé de consulter un.e professionnel.le de la santé ou un.e spécialiste en fertilité pour obtenir des conseils personnalisés avant de choisir cette méthode comme moyen de contraception principal.

Taux d’échec :

⚡️Utilisation parfaite : 5%

💦Utilisation réelle: 25%

2. La méthode de la température basale

Cette contraception naturelle repose sur la température basale. La température basale c’est la mesure quotidienne de la température corporelle d'une femme immédiatement après son réveil. Cette méthode s'appuie sur le fait que la température corporelle augmente légèrement après l'ovulation. Donc en mesurant la température pendant l'ovulation et en identifiant ce changement de température, il est ainsi possible de déterminer les jours où une femme est potentiellement fertile.

Pour utiliser cette méthode, il est nécessaire de prendre sa température tous les matins à la même heure, avant de sortir du lit ou de mener toute activité physique. Et ne prenez pas votre température avec un thermomètre lambda. Il est important d'utiliser un thermomètre basale et de noter sa température chaque jour.

Généralement, avant l'ovulation, la température basale du corps est plus basse, variant de 36,1°C à 36,4°C pour la plupart des femmes. Après l'ovulation, cette température augmente d'au moins 0,2°C et reste élevée jusqu'au début des prochaines menstruations. Cette hausse de température est causée par l'hormone progestérone, produite après l'ovulation.

Bon à savoir :

La période fertile d'une femme se situe dans les jours précédant l'augmentation de la température et le jour où la température commence à augmenter. En évitant les rapports sexuels non protégés pendant cette période, on peut utiliser la méthode de la température basale comme moyen de contraception. Cependant, tout comme la méthode du calendrier, elle nécessite de la discipline et une bonne compréhension de son cycle, et elle peut être influencée par divers facteurs tels que le stress, le voyage, et les perturbations du sommeil, qui peuvent tous affecter la température corporelle. Alors attention tout de même !

Taux d’échec :

⚡️Utilisation parfaite : 2%

💦Utilisation réelle : 20%

Thermomètre de suivi basal pour le suivi du cycle et la conception - Cyclotest

3. La méthode de la glaire cervicale cervical (ou méthode Billings) :

La méthode Billings repose sur l'observation des changements dans la glaire cervicale au cours du cycle menstruel. Ce mucus, produit par le col de l'utérus, change de texture, de couleur et de volume en fonction des différentes phases du cycle, en réponse aux variations hormonales. En apprenant à reconnaître ces changements, on peut identifier les jours où nous sommes potentiellement fertiles.

La méthode du mucus cervical fonctionne en 4 étapes :

  1. Observation quotidienne : Chaque jour, il faut observer son mucus cervical. Il est important d'effectuer cette observation tous les jours pour suivre l'évolution des pertes au fil du cycle.
  2. Faire un suivi: Les caractéristiques des pertes telles que la couleur, la consistance et la sensation qu'il procure (sec, humide, glissant) doivent être notées. Juste après les menstruations, il est courant qu'il n'y ait pas de mucus visible (période sèche). À l'approche de l'ovulation, le mucus devient plus abondant, clair et élastique, ressemblant à du blanc d'œuf. Cette texture "fertile" facilite le voyage des spermatozoïdes à travers le col de l'utérus.
  3. Identification de la fenêtre fertile : La période fertile commence quand les pertes commencent à devenir plus abondantes et se terminent 48 heures après l'observation du mucus le plus fertile (clair, glissant, et élastique). Éviter les rapports sexuels non protégés ou utiliser un préservatif pendant cette période peut aider à prévenir une grossesse.
  4. Abstinence ou utilisation d’un préservatif : Les personnes qui utilisent cette méthode comme moyen de contraception évitent les rapports sexuels ou utilisent des préservatifs pendant la période fertile identifiée grâce à l'observation des pertes.

Bon à savoir :

Ici aussi, il est important de souligner qu’identifier la glaire cervicale nécessite un apprentissage et une pratique. Cela demande d'être très attentive à son corps et à ses cycles. Comme pour toute méthode de contraception naturelle, son efficacité peut être influencée par différents facteurs, tels que les infections, l'utilisation de douches vaginales, et certains médicaments qui peuvent altérer l'apparence du mucus cervical. Pour augmenter son efficacité, on peut combiner la méthode du mucus cervical avec d'autres méthodes de suivi de la fertilité, comme la méthode de la température basale.

Taux d’échec :

⚡️Utilisation parfaite : 1%

💦Utilisation réelle : 23%

4. La méthode symptothermique :

La méthode sympto-thermique combine l'observation de la glaire cervicale (méthode Billings) et la mesure de la température basale.

Pour rappel, le suivi de la glaire cervicale consiste à examiner quotidiennement sa texture, sa couleur et sa sensation, ce qui permet d'identifier les périodes de fertilité élevée. Parallèlement, la température basale, mesurée chaque matin immédiatement après le réveil, montre une légère hausse post-ovulation, ce qui indique les jours potentiellement fertiles. Nous le rappelons, l'utilisation d'un thermomètre basale est recommandée pour noter les variations de température. Cette méthode peut aussi être enrichie par l'observation d'autres signes physiologiques, comme les modifications du col de l'utérus !

Bon à savoir :

Bien que cette méthode soit parmi les plus fiables en matière de contraception naturelle, elle demande un suivi rigoureux. Et elle n'est pas à l'abri des influences externes qui peuvent altérer les signaux de fertilité.

Taux d’échec :

⚡️Utilisation parfaite : 4%

💦Utilisation réelle : 22%

5. Le retrait (ou coitus interruptus) :

Enfin, la dernière méthode de contraception naturelle est le retrait, également connu sous le nom de coitus interruptus. Elle consiste pour l'homme à retirer son pénis du vagin de sa partenaire juste avant l'éjaculation, afin de prévenir le dépôt de sperme dans le tractus génital féminin. Cette pratique vise à réduire le risque de grossesse en évitant que les spermatozoïdes n'atteignent l'ovule.

Pour que cette méthode fonctionne correctement, il faut que le retrait soit effectué à temps, à chaque rapport sexuel. La réussite de cette technique repose entièrement sur la capacité de l'homme à anticiper l'imminence de l'éjaculation et à se retirer suffisamment tôt. Cela nécessite une confiance aveugle en votre partenaire et en sa capacité à se maîtriser.

Bon à savoir :

Même si le retrait est une méthode de contraception pratiquée depuis des siècles, son efficacité est sujet à débat en raison du risque d'échec lié au timing de l'éjaculation ou à la présence de spermatozoïdes dans le liquide pré-éjaculatoire. Même si cette méthode est simple à mettre en œuvre, elle peut ne pas convenir à tous le monde, en particulier ceux qui cherchent une protection très fiable contre la grossesse. Il est important d’en parler avec son partenaire !

Taux d’échec :

⚡️Utilisation parfaite : 0,4%

💦Utilisation réelle : 2%

Avantages et inconvénients des contraceptions naturelles par rapport aux contraceptions traditionnelles

Pour vous aider à peser le pour et le contre, nous avons réalisé un tableau comparatif qui montre les avantages et les inconvénients des méthodes de contraception naturelle par rapport aux méthodes traditionnelles.

 

Critères

Méthodes naturelles

Méthodes traditionnelles

Efficacité

Moins efficaces en général, cependant avec une bonne discipline et connaissance du corps, l'efficacité peut s'améliorer.


À noter aussi que l'efficacité varie. Par exemple, la méthode symptothermique peut atteindre une efficacité jusqu'à 99% avec une utilisation parfaite, mais en pratique, elle tombe à environ 76-88% en raison d'erreurs d'utilisation.

Très efficaces lorsqu'elles sont utilisées correctement. 


Avec une utilisation parfaite, l'efficacité est d'environ 99,7%, mais en pratique, elle est d'environ 91% en raison d'oublis ou de mauvaises utilisations.


Les préservatifs aussi ont une bonne efficacité, mais peuvent parfois comporter un risque de déchirure.

Coût

Généralement peu coûteuses ou gratuites.


Les coûts éventuels sont l'achat de thermomètres basale ou d'applications de suivi, qui peuvent coûter de quelques euros à une cinquantaine d'euros.

Peuvent être coûteuses selon la méthode choisie et la couverture d'assurance.


Par exemple, l'implant contraceptif coûte approximativement 102 euros. L'Assurance Maladie rembourse 65 % de son prix.


Quant aux pilules contraceptives, le coût peut varier de 0 à 50 euros par mois, selon le type de pilule et la couverture d'assurance.

Confort d’utilisation

Nécessitent une observation quotidienne et une bonne connaissance de son corps. Peuvent être perçues comme contraignantes.

Simples à utiliser pour la plupart. Mais certains dispositifs nécessitent une visite médicale pour l'installation ou le retrait.

Effets secondaires

Aucun effet secondaire direct lié à l'utilisation de méthodes naturelles mais peuvent entraîner du stress ou de l'anxiété liés à la gestion et à l'interprétation correcte des signes du corps.

Peuvent inclure des effets secondaires hormonaux ou physiques, selon la méthode (p.ex., changements d'humeur, prise de poids, etc.). 


Par exemple, les pilules peuvent inclure des nausées, des changements de poids, des sautes d'humeur, et, dans de rares cas, des risques accrus de certains problèmes de santé.


Pour les implants, ils peuvent entraîner des modifications des saignements menstruels, des douleurs au site d'insertion, et d'autres effets secondaires hormonaux.

Protection IST

N'offrent aucune protection contre les infections sexuellement transmissibles.

Les préservatifs (masculins et féminins) offrent une protection contre les IST. Les autres méthodes non naturelles ne protègent pas contre les IST.

Réversibilité

Fertilité restaurée après l'arrêt de l'utilisation.

La plupart sont réversibles, mais certaines peuvent entraîner un délai avant le retour à la fertilité normale.

Attention aux mythes et idées fausses sur la contraception naturelle

Enfin, il nous semblait important de lever le voile sur certains mythes autour de la contraception naturelle !

 

Elles sont totalement inefficaces (FAUX) :

Beaucoup croient à tort que les méthodes naturelles de contraception sont complètement inefficaces. Cependant, lorsqu'elles sont pratiquées correctement et consciencieusement, certaines méthodes, comme la méthode symptothermique, peuvent avoir des taux d'efficacité élevés. Cependant, le risque zéro n’existe pas et cet adage est aussi valable pour les contraceptions non naturelles.

 

Elles sont uniquement pour les couples (FAUX):

Certains pensent que ces méthodes ne conviennent qu'aux couples stables. En réalité, toute personne souhaitant éviter les contraceptifs hormonaux ou les dispositifs peut envisager ces méthodes, indépendamment de son statut relationnel.

 

Elles sont trop compliquées à suivre (FAUX) :

Bien qu'elles exigent plus d'attention et de suivi que certains autres types de contraception, avec l'éducation appropriée et les outils adéquats (comme les applications de suivi de fertilité), de nombreuses personnes trouvent ces méthodes gérables.

 

Elles ne protègent pas contre les IST (VRAI mais à nuancer):

Ce n'est pas un mythe mais une réalité; cependant, l'idée fausse est que les personnes qui utilisent la contraception naturelle ne se soucient pas de la protection contre les IST. En réalité, beaucoup utilisent des préservatifs en complément lors de relations sexuelles avec de nouveaux partenaires ou si elles sont à risque d'IST.

 

Elles sont réservées aux femmes avec des cycles réguliers (FAUX):

Bien que la régularité du cycle puisse faciliter l'utilisation de certaines méthodes naturelles, des méthodes comme la symptothermique peuvent s'adapter à des cycles irréguliers grâce au suivi de plusieurs indicateurs de fertilité.

 

SOURCES :

“Contraceptive Use in the United States” https://guttmacher.org/fact-sheet/contraceptive-use-united-states

“Oral Contraceptives and Cancer Risk” https://www.cancer.gov/about-cancer/causes-prevention/risk/hormones/oral-contraceptives-fact-sheet

“Estrogen in birth control pills has a negative impact on fish” https://www.sciencedaily.com/releases/2016/03/160304092230.htm

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